FAQ

71 Résultats

  • Beal est le seul fabricant des produits de la gamme BEALSTONE® et qui en a déposé le nom. Nous vous conseillons de prendre garde aux imitations et contrefaçons, car elles ne répondent pas aux mêmes exigences de qualité.
    Les produits BEAL INTERNATIONAL, et en particulier les produits MORTEX®, BEALSTONE® et CAPILASIL® sont des produits protégés. Ceux-ci répondent à des exigences strictes de qualité pour lesquelles BEAL INTERNATIONAL s’oblige à des garanties de résultat. BEAL INTERNATIONAL est l’unique fabricant ses produits.

    La distribution des produits est assurée par BEAL INTERNATIONAL et ses distributeurs (officiels et non-officiels). Les points de vente sont disponibles sur www.beal.be

    De nombreuses entreprises concurrentes cherchent à utiliser la renommée de BEAL INTERNATIONAL et de ses produits pour induire le consommateur en erreur, n’hésitant pas à utiliser des moyens mensongers, trompeurs ou dénigrants pour commercialiser des produits de bien moindre qualité ou sans autorisation. Nous vous remercions de rester vigilant à l’égard de toute contrefaçon ou imitation et le cas échéant, d’en informer la direction par mail via l’adresse info@beal.be.

  • Le prix du revêtement BEALSTONE® varie entre 150 à 200€/m² htva (180 à 225 €/m²tvac) pour une épaisseur de 11mm coulée et une épaisseur finie de 7mm. Ce prix indicatif correspond à une formule de revêtement avec des agrégats basiques (marbres) et pour une surface d’environ 100m² avec 4 murs périphériques (sans obstacles, escalier…)

  • Si les produits sont conservés dans leurs emballages d’origine bien fermés et suivant les conditions de stockage préconisées par les fiches techniques, vous pouvez les réutiliser pour un autre chantier. C’est la raison pour laquelle BEAL vend des produits neutres, non teints.

  • Non. Nous ne pouvons jamais garantir des produits étrangers à notre marque pour la simple et bonne raison que nous ne gérons pas leur contrôle de fabrication. Des incompatibilités peuvent apparaître directement lors de mélanges, pendant la pose et longtemps après la pose.

  • Un joint souple périmétrique (ex. entre murs et sols, sols et menuiseries, etc.) de type MS polymère (prévu pour pierres naturelles et verre) est préconisé pour compenser le mouvement dû à la dilatation du matériau. L’utilisation d’un fond de joint est préconisée.
    Ces joints souples ne laissent pas de traces ni sur le revêtement BEALSTONE® ni sur les autres matériaux, contrairement à un silicone classique. Le MS Polymère offre l’avantage d’être étanche. Ce type de joint est utilisé pour les joints susceptibles de connaître un mouvement (dilatation, etc.).
    Le joint souple doit être mis en œuvre avant une protection huile.
    Le mieux est d’arrêter le revêtement BEALSTONE® à 3 mm du bac de douche à l’aide d’une cornière d’arrêt et d’ensuite remplir l’interstice d’un joint en MS polymère.
    Il faut également poser un joint en MS Polymère autour des arrivées d’eau (il n’existe pas de profilés d’arrêt spéciaux ronds pour cette application).
    Le joint souple doit être contrôlé et remplacé si nécessaire.
    Ces 3 types de joints sont parfaitement adaptés pour résister à un nettoyage classique.

  • Oui.
    Dans tous les cas, un nettoyage s’impose pour rendre la surface saine et propre
    Il est recommandé de retirer complètement la protection présente sur le revêtement BEALSTONE® s’il y en a une.
    Pour les produits de protection avec imprégnation il faut poncer la matière jusqu’à la profondeur de pénétration de la protection.
    Il faut donner une adhérence sur l’ancien revêtement BEALSTONE® en rendant la surface rugueuse.
    L’épaisseur à éliminer dépendra de la place disponible pour couler une nouvelle couche.
    L’application du primaire RESIDUR n’est pas obligatoire, mais facilitera la pose de la nouvelle couche de revêtement BEALSTONE®.
    La fiche technique de chaque produit doit être scrupuleusement observée lors de l’application.

  • Toujours travailler sur un support stable, propre et dénué de poussières.
    La fibre de verre ou notre tissu d’armature BEALTEX n’offre pas une garantie totale de résultats, car il ne pourra reprendre que de très faibles mouvements.
    C’est la toile (tissu d’armature) qui va s’étirer en reprenant l’effort du mouvement du support. Le produit BEALSTONE® va alors connaître des tensions pouvant provoquer plusieurs micros fissures au lieu d’en avoir une importante à l’emplacement de la fissure initiale du support.
    Il est toujours difficile de traiter des fissures vivantes sans passer par la case “modification du support”. C’est la raison pour laquelle il faut toujours respecter par un joint de dilatation dans le revêtement BEALSTONE® les joints de dilatation réalisés dans le support.

  • Le revêtement BEALSTONE® n’a pas été conçu à cet effet.
    BEAL ne prend pas la garantie sur ce type d’application sortant des fiches techniques et du protocole de pose. Toutefois, des études sont en cours quant au placement éventuel du revêtement BEALSTONE® dans des piscines.
    Des tests ont été réalisés avec succès.

  • Le produit BEALSTONE®, bien qu’imperméable dans sa masse, se comporte comme la plupart des pierres naturelles (microporeuse en surface). Dès lors, une finition de protection pour les taches (vin, graisses, etc.) est recommandée en intérieur : huile, huile-cire, oléofuge, hydrofuge, etc.

    Voir les protections conseillées.

    Dans tous les cas, nous recommandons des tests et échantillons au préalable afin de valider la finition et protection adéquates.

  • Lorsque des taches tenaces se présentent sur un support et notamment sur le produit BEALSTONE ® on peut tenter le système de succion par capillarité.
    Après avoir tenté de nettoyer avec une brosse douce et de l’eau savonnée :
    1. Humidifier la tache au moins 10 minutes avec de l’eau tiède.
    2. Ramasser l’eau.
    3. Humidifier à nouveau.
    4. Placer plusieurs feuilles de papier absorbant une par une en les superposant, bien à plat sur la tâche en débordant de 10 cm. 10 à 20 feuilles peuvent être nécessaires.
    5. Bien humidifier l’ensemble des couches et chasser l’air pour que les feuilles de papier soient bien à plat en parfait contact avec le support
    6. Laisser sécher naturellement sans intervenir. Ne pas créer de courant d’air.
    7. En séchant en surface, les pores des papiers se libèrent et les capillaires exercent une succion qui a tendance à tirer l’encrassement du support et la transférer dans les feuilles de papier.
    8. Retirer les couches de papier après leur séchage complet.
    9. Constater le résultat.
    10. Répéter l’opération si nécessaire.
    Si la tache provient d’une petite cavité ouverte dans le produit minéral BEALSTONE® et que la protection n’a pas traité cette cavité, le système ne sera pas performant vu que l’aspiration ne pourra se concentrer que sur cette petite cavité et non sur la tache entière.
    Recommencer l’opération si nécessaire.

  • Oui. Ce type de technique de chauffage traditionnelle, avec chape et isolant, est tout-à-fait compatible avec le revêtement BEALSTONE. Comme pour les autres types de revêtements, des précautions sont à prendre pour un bon fonctionnement, quant au support et à la gestion des températures.
    Support
    Pour l’application, la chape doit être sèche et propre (voir fiche technique sur www.bealinternational.com) et le chauffage doit être éteint 4 jours avant l’application.
    Lorsque le support est composé de matériaux de nature différente, non stable et/ou comportant des joints (ex : carrelages, système OPAL,…), il est impératif de prendre les précautions nécessaires pour éviter, dans la mesure du possible, tout mouvement dû à la dilatation, à la différence des tensions superficielles et internes et au cisaillement, à savoir et à choisir :
    • Filet d’armature ou natte textile armée aux jonctions
    • Filet d’armature à maroufler dans la 1ère couche technique.
    • Natte spéciale adhérence mortier textiles dans les angles
    • Membranes de désolidarisation sur l’entièreté de la surface

    Températures
    Comme pour un chauffage au sol classique, la température maximale sera de 28-30°C.
    La mise en service (par paliers de 2 à 3°C par 48 h au-dessus de la température du support) une fois le produit BEALSTONE® complètement sec (minimum 7 jours). Après un arrêt du système de chauffage la remise en service se fera toujours par variations de températures par paliers de 2 à 3 °C / 48 H.

  • Si pour une raison ou pour une autre (par exemple exécuter une réparation) il faut éliminer cet aspect huileux, la meilleure solution est de l’enlever mécaniquement (à conditions que l’huile soit complètement sèche) en abrasant la surface traitée avec un disque diamanté (grain entre 100 et 150).

    (Vous pouvez directement passer au point 3 si l’huile est bien dure.)

    1. Nettoyer à l’essence de térébenthine avec un chiffon coton blanc la surface afin d’enlever le plus d’huile possible.
    2. Utiliser un nettoyeur à vapeur style vaporetto pour essayer à nouveau d’enlever le plus de résidus d’huile possibles.
    3. Abraser/poncer la surface de façon à ce qu’il n’y ait plus aucune trace d’huile.
    Il est à noter que s’il reste des traces d’huile, les protections n’adhéreront pas à ces endroits, ce qui donnera un aspect différent et rendra la douche non étanche. Il faut donc veiller à bien tout enlever, opération assez délicate donc.
    4. Bien aspirer et nettoyer la surface pour enlever toute trace de poussière.
    5. Après séchage complet, appliquer la protection choisie selon la méthode recommandée par Beal.
    Réserve : après le point 3, il est possible qu’il reste des traces d’huile bien sèche et durcie dans toute son épaisseur. Le vernis doit pouvoir tenir dessus en principe mais nous n’avons pas de test à cet égard.

    Si le produit BEALSTONE® est structuré et pas parfaitement plan, il ne sera pas possible d’éliminer toute l’huile se trouvant dans les petites cavités, sans attaquer la dernière couche de produit BEALSTONE®.

    Nous conseillons donc d’abraser toute la surface jusqu’à l’obtention d’une surface parfaitement plane, sans pores ouverts.

    Il faut bien nettoyer et dépoussiérer la surface abrasée et l’environnement direct.

    La surface recevra alors, en fonction du protocole de pose, la protection choisie.
    En cas de présence d’huile fraîche, des essais peuvent être réalisés avec de la térébenthine.

  • Si pour une raison ou pour une autre (par exemple changer la couleur du revêtement ou exécuter une réparation) il faut éliminer cet aspect ciré, la meilleure solution est de l’enlever mécaniquement (à conditions que l’oléofuge soit complètement sec) en abrasant la surface traitée avec un disque diamanté (grain entre 100 et 150).

    (Vous pouvez directement passer au point 3 si l’oléofuge est bien dure.)

    1. Nettoyer à l’essence de térébenthine avec un chiffon coton blanc la surface afin d’enlever le plus d’oléofuge possible.
    2. Utiliser un nettoyeur à vapeur style vaporetto pour essayer à nouveau d’enlever le plus de résidus d’oléofuge possibles.
    3. Abraser/poncer la surface de façon à ce qu’il n’y ait plus aucune trace d’oleofuge.
    Il est à noter que s’il reste des traces d’oléofuge, le vernis n’adhérera pas à ces endroits, ce qui rendra la douche non étanche. Il faut donc veiller à bien tout enlever, opération assez délicate donc.
    4. Bien aspirer et nettoyer la surface pour enlever toute trace de poussière.
    5. Après séchage complet, appliquer la protection choisie selon la méthode recommandée par Beal.
    Réserve : après le point 3, il est possible qu’il reste des traces d’oléofuge bien sèche et durcie dans toute son épaisseur. Le vernis doit pouvoir tenir dessus en principe mais nous n’avons pas de test à cet égard.

    Si le produit BEALSTONE® est structuré et pas parfaitement plan, il ne sera pas possible d’éliminer toute l’oléofuge se trouvant dans les petites cavités, sans attaquer la dernière couche de produit BEALSTONE®.

    Nous conseillons donc d’abraser toute la surface jusqu’à l’obtention d’une surface parfaitement plane, sans pores ouverts.

    Il faut bien nettoyer et dépoussiérer la surface abrasée et l’environnement direct.

    Ensuite, la surface recevra, en fonction du protocole de pose, la protection choisie.
    En cas de présence d’oléofuge frais, des essais peuvent être réalisés avec de la térébenthine.

  • Beal est le seul fabricant des produits de la gamme MORTEX® et qui en a déposé le nom. Nous vous conseillons de prendre garde aux imitations et contrefaçons, car elles ne répondent pas aux mêmes exigences de qualité.
    Les produits BEAL INTERNATIONAL, et en particulier les produits MORTEX®, BEALSTONE® et CAPILASIL® sont des produits protégés. Ceux-ci répondent à des exigences strictes de qualité pour lesquelles BEAL INTERNATIONAL s’oblige à des garanties de résultat. BEAL INTERNATIONAL est l’unique fabricant ses produits.

    La distribution des produits est assurée par BEAL INTERNATIONAL et ses distributeurs (officiels et non-officiels). Les points de vente sont disponibles sur www.beal.be

    De nombreuses entreprises concurrentes cherchent à utiliser la renommée de BEAL INTERNATIONAL et de ses produits pour induire le consommateur en erreur, n’hésitant pas à utiliser des moyens mensongers, trompeurs ou dénigrants pour commercialiser des produits de bien moindre qualité ou sans autorisation. Nous vous remercions de rester vigilant à l’égard de toute contrefaçon ou imitation et le cas échéant, d’en informer la direction par mail via l’adresse info@beal.be.

  • Textes des légendes de haut en bas suivant les couches des schémas.

    NB: MC = MORTEX COLOR

    Application technique: intérieur et extérieur

    – 3ème couche décorative (option). MC 2-F1 ou F2 (en intérieur uniquement) ou MC2-N (en intérieur et en extérieur)
    – 2ème couche technique MC 2-N
    – 1ère couche technique MC 2-N
    – Primaire d’accroche (en intérieur uniquement)
    Resipox W peut être utilisé en extérieur
    – Support

     

    Application semi-technique: intérieur

    – 2ème couche décorative (option). MC 2-F1 ou F2 ou MC2-N
    – 1ère couche technique MC 2-N
    – Primaire d’accroche
    – Support

    Application décorative

    – 2ème couche décorative MC 2-N ou F1 ou F2 ou F3 ou F4
    – 1ère couche décorative MC 2-N ou F1 ou F2 ou F3 ou F4
    – Primaire d’accroche
    – Support

  • Voir la grille des prix

    *Pour un travail classique d’un minimum de 50 m². les plus petits travaux sont soumis à un prix forfaitaire. Réf prix : marché Belge.
    Prix marchandise : l’évaluation du prix ne comprend pas la finition (MORTEX COLOR 2 F) et tient en compte le prix moyen des protections.

  • Si les produits sont conservés dans leurs emballages d’origine bien fermés et suivant les conditions de stockage préconisées par les fiches techniques, vous pouvez les réutiliser pour un autre chantier. C’est la raison pour laquelle BEAL vend des produits neutres, non teintés.

  • Non. Nous ne pouvons jamais garantir des produits étrangers à notre marque pour la simple et bonne raison que nous ne contrôlons pas leur fabrication.
    Des incompatibilités peuvent apparaître directement lors de mélanges, pendant la pose et longtemps après la pose.

  • Oui, à condition de bien respecter les systèmes d’application MORTEX POOL. Pour ce faire, merci de prendre contact avec notre service technique.

  • Pour qu’un vernis soit efficace, il faut qu’il soit appliqué selon les règles de l’art et les prescriptions des fiches techniques disponibles sur www.bealinternational.com .
    Les dégâts que peut subir un support dont le vernis est griffé ou altéré par des chocs peuvent être équivalents à ceux que subit un support sans protection. Les apparitions de taches à ces endroits peuvent être difficiles voire impossible à enlever.
    La fiche technique de chaque produit (disponible sur www.bealinternational.com) doit être scrupuleusement observée lors de l’application.
    Il faut, pour obtenir des résultats performants :
    • attendre le séchage complet du support propre et dépoussiéré sur lequel la protection va être appliqué,
    • appliquer les vernis avec des pinceaux et rouleaux adéquats et croiser régulièrement chaque passage en allégeant crescendo la pression exercée sur l’outil.
    • sur un support structuré et/ou dont les pores sont ouverts, le tapotage à l’aide d’un pinceau « ad hoc » est impératif pour faire pénétrer le vernis au fond des cavités formées par les pores. Si ce travail n’est pas exécuté de la sorte, l’eau et les graisses pénétreront dans ces cavités, seront reprises par capillarité et laisseront apparaître une tache difficile voire impossible à enlever en dessous même de la protection choisie.

  • S’il y a des taches sur un revêtement MORTEX® vernis, elles sont très probablement dues à la pénétration de l’encrassement par des ouvertures dans le vernis (griffes, chocs) ou à une application déficiente de vernis ne répondant au protocole de pose de la fiche technique.
    Pour identifier les causes possibles et la mise en oeuvre pour les éviter, voir FAQ « Quelles sont les causes des taches sur le produit MORTEX® et comment les éviter ? »

    On peut tenter de nettoyer les taches au moyen de la capillarité exercée par l’application de plusieurs épaisseurs de papier absorbant (voir dans ce FAQ la technique de nettoyage par capillarité).

    Toutefois, si le résultat n’est pas satisfaisant, il n’y a, a priori, aucune autre solution que de poncer la surface avec un outil diamanté qui éliminera le vernis. Il faudra alors poncer la partie de l’enduit MORTEX jusqu’à la disparition totale de la tâche pour appliquer une nouvelle couche d’enduit MORTEX®, en lissant parfaitement la surface de l’enduit, pour ne pas réitérer le même problème. L’enduit MORTEX COLOR 2-F2 peut, dans certains cas, vous apporter plus de facilité dans le lissage.
    Après séchage de l’enduit MORTEX® (voir fiches techniques disponibles sur www.bealinternational.com), appliquer la protection choisie suivant les prescriptions techniques de pose.
    Attention : si vous êtes dans une technique d’imperméabilité pour une douche, il faudra appliquer à nouveau les parties manquantes au système des deux couches de l’enduit MORTEX COLOR 2-N.

    (voir FAQ « Quels sont les différents systèmes MORTEX® »)

  • Un joint souple périmétrique (ex. entre murs et sols, sols et menuiseries, etc.), de type MS polymère (prévu pour pierres naturelles et verre) est préconisé pour compenser le mouvement dû à la dilatation du matériau. L’utilisation d’un fond de joint est préconisée.
    Ces joints souples ne laissent pas de traces ni sur le revêtement MORTEX® ni sur les autres matériaux, contrairement à un silicone classique. Le MS Polymère offre l’avantage d’être étanche. Ce type de joint est utilisé pour les joints susceptibles de connaître un mouvement (dilatation, etc.).
    Le joint souple doit être mis en œuvre avant une protection huile.
    Le mieux est d’arrêter le revêtement MORTEX® à 3 mm du bac de douche à l’aide d’une cornière d’arrêt et d’ensuite remplir l’interstice d’un joint en MS polymère.
    Bien suivre l’opération de pose. Utiliser un fond de joint si nécessaire.
    Il faut également poser un joint en MS Polymère autour des arrivées d’eau (il n’existe pas de profilés d’arrêt spéciaux ronds pour cette application).
    Le joint souple doit être contrôlé et remplacé si nécessaire.
    MDB PHOTO? + MS polymer

  • Oui.
    Dans tous les cas, un nettoyage s’impose pour rendre la surface saine et propre
    Il est impératif de retirer complètement la protection présente sur le revêtement MORTEX® s’il y en a une.
    Pour les produits de protection avec imprégnation, il faut poncer la matière jusqu’à la profondeur de pénétration de la protection.
    L’application du primaire RESIDUR n’est pas obligatoire, mais facilitera la pose de la nouvelle couche de revêtement MORTEX®.
    La fiche technique de chaque produit doit être scrupuleusement observée lors de l’application.

  • Pour répondre à cette demande, BEAL a développé la gamme des enduits MORTEX COLOR 2-F1, F2, F3 et F4.
    Appliqués avec une plâtresse en polycarbonate, ils donnent peu d’effets. La série des F1 et F2 est plus particulièrement destinée aux sols, en finition. La série des F3 et F4 est plus particulièrement destinée aux murs et plafonds.
    Des effets de transparence sont également possibles si on le « tire » très fort (enduit MORTEX COLOR 2-F4). A contrario, trop de manipulations avec l’outil peuvent provoquer des effets.
    Des traces de reprise peuvent devenir visibles si le revêtement complet de la surface n’a pas été réalisé « frais dans frais » ou survenir d’un mélange dont la pigmentation n’est pas identique.
    L’enduit MORTEX COLOR 2-N a été formulé pour une autocréation d’effets et les traces que l’artisan pourrait vouloir laisser comme une empreinte pour « marquer » son passage. Ceci permet à certains applicateurs doués et chevronnés de créer des particularités qu’eux seuls arrivent à réaliser et c’est le côté recherché dans les revêtements MORTEX®, tant pour la satisfaction du client final, que pour celui qui l’applique.

  • Au niveau de l’application, un particulier pourrait réaliser lui-même son produit MORTEX® pour de petites surfaces.
    Dans la pratique, pour des surfaces plus importantes, ce n’est pas toujours réalisable.
    Certains particuliers peuvent obtenir de meilleurs résultats que certains professionnels. Ceci comme dans tous les domaines peut se vérifier.
    En effet, le produit MORTEX® requiert une certaine dextérité dans l’emploi des outils pour la pose, en fonction de la finition souhaitée.
    Des formations « INITIATION » sont prévues pour prendre connaissance du produit, consultez notre agenda sur www.bealtraining.com

  • Toujours travailler sur un support stable et propre et dénué de poussières.
    Dans le doute, utiliser le tissu d’armature BEALTEX à poser en sandwich (entre deux couches).
    La fibre de verre ou notre tissu d’armature BEALTEX n’offre pas une garantie totale de résultats, car il ne pourra reprendre que de très faibles mouvements.
    C’est la toile (filet d’armature) qui va s’étirer en reprenant l’effort du mouvement du support. Le produit MORTEX® va alors connaître des tensions pouvant provoquer plusieurs micros fissures au lieu d’en avoir une importante à l’emplacement de la fissure initiale du support. Le revêtement MORTEX® est souple mais pas élastique.
    Il est toujours difficile de traiter des fissures vivantes sans passer par la case “modification du support”. C’est la raison pour laquelle il faut toujours respecter par un joint de dilatation dans le revêtement MORTEX® les joints de dilatations réalisés dans le support.

  • Causes de l’apparition de taches
    Lorsque le produit MORTEX® est appliqué de manière très structurée avec formation de micros cavités plus ou moins importantes, des pénétrations de liquides gras ou autres sont possibles au niveau de ces ouvertures.

    En effet, ces endroits sont des points faibles pour l’enduit et sa protection. Il est indispensable pour éviter des pénétrations éventuelles de bien traiter ces cavités. En passant les produits de protection (vernis, huiles, etc…) au moyen d’un traitement normal (rouleau ou pinceau …), ces derniers ne pénètrent pas dans ces cavités, car ces produits sont trop épais. Il faut impérativement les pousser en tapotant avec le pinceau/la brosse pour bien traiter les bords, ainsi que le fond, de ces cavités .

    Nous connaissons donc à ces endroits un phénomène de capillarité latérale, par-dessous la protection, pouvant tacher le support. Ce dernier ne peut sécher que par les petites ouvertures formées par les micros cavités en question. Les graisses ne peuvent pas s’échapper.

    Pour les couches « techniques » (sol, douches, etc…), le fait d’avoir un support à pores ouverts (cavités) est déjà une déficience au niveau de l’application. Cette faiblesse entrave l’étanchéité du système et ces zones risquent de s’encrasser.
    La présence de taches à certains endroits et pas à d’autres prouve que la protection (vernis ou autre) est efficace là où elle est bien appliquée.

    Les taches ne sont présentes qu’aux endroits qui n’ont pas reçu de protection. Il est donc impératif de tamponner le vernis ou les autres protections dans ces petites cavités non traitées. Ces cavités non traitées sont naturellement toujours à éviter.

    Des supports lisses peuvent présenter les mêmes cas de figure si la protection est mal appliquée.

    La bonne mise en oeuvre pour éviter les taches
    Nous conseillons donc toujours de réaliser et faire valider un échantillon pour déterminer la finition (structurée, lisse, etc.) en fonction de la destination du chantier.

    Ex : pour une douche et/ou un plan de travail, nous conseillons toujours une finition lissée pour éviter un phénomène d’encrassement et faciliter l’entretien.

    Il faut prendre en compte que ces cavités sont parfois difficiles à protéger parce que certaines d’entre-elles communiquent par leur fond. C’est dans ces cavités que va se fixer l’encrassement (saletés, savons, résidus de nettoyage, produits huileux, teintures de cheveux, farine, beurre, etc.). Les microcavités créent un passage possible pour l’eau.

    Il faut donc impérativement bien fermer les surfaces en évitant la présence de micros cavités importantes et bien appliquer la protection suivant les règles de l’art.

  • Merci de bien vouloir vous référer à la fiche technique du produit MORTEX® (disponible sur www.bealinternational.com) et au syllabus de formation (disponible en formation).
    Pour rappel : Dans une douche, appliquer le produit MORTEX de manière parfaitement lisse pour que la surface soit impérativement sans pores (microcavités).
    Cela permet une meilleure application de la protection et également d’éviter les incrustations de restes de savon, de calcaire,…
    Autre avantage : la facilité de nettoyage. Se référer à la FAQ « Comment entretenir le MORTEX® »
    Appliquer ensuite la protection adéquate (consulter la fiche technique disponible sur www.bealinternational.com).

  • De nombreux éviers de cuisines ont été réalisés avec succès.
    Cependant nous ne conseillons pas ce type de réalisation pour diverses raisons.

  • 1. Causes d’encrassement
    L’encrassement du revêtement MORTEX COLOR 2-N provient d’une finition de type structurée ou très structurée. Le produit MORTEX® est un produit qui permet et admet énormément de types d’application, allant de super lisses à lisses, structurées, voire très structurées. Plus la finition sera lisse (fermée) et moins il y aura de risques d’encrassement, car moins de micro-cavités pour le dépôt de poussière fine.
    Pour les couches « techniques » (sol, douches, etc…), le fait d’avoir un support à pores ouverts (cavités) est déjà une déficience au niveau de l’application. Cette faiblesse entrave l’étanchéité du système et ce dernier aura tendance à s’encrasser dans ces zones.
    Dans le cas de sols structurés, les salissures auront tendance à se marquer plus rapidement, ce qui est logique (la même réflexion peut donc se faire pour tous les joints profonds de carrelages, des carreaux en travertin, etc).
    Les salissures seront aussi plus solides en cas de nettoyage peu régulier ou d’un nettoyage rapide et/ou superficiel, ce qui est normal. Au fur et à mesure de l’encrassement, celui-ci deviendra plus tenace parce qu’il se présentera sous forme de boue séchée après le passage de l’eau de nettoyage.

    2. Comment éviter l’encrassement ?
    Pour éviter que le revêtement s’encrasse progressivement, les finitions lisses et bien protégées sont idéales.
    Nous conseillons toujours à l’applicateur de proposer au client final un échantillon (80 cm x 80 cm minimum), à faire valoir pour acceptation, et ce avant de commencer le chantier.
    Des demandes de réalisations de sols structurés dans des endroits relativement sujets à l’encrassement (entrées par le jardin, etc.) sont déconseillées.
    Sur la dernière couche technique de l’enduit MORTEX COLOR 2-N, on peut apporter une couche d’enduit MORTEX COLOR 2-F2, qui, plus fine, favorise des finitions lisses et plus fermées (sans micros cavités).
    L’entrepreneur (artisan applicateur) prendra soin de bien faire pénétrer la protection adéquate dans les micros-cavités éventuelles du revêtement.

    3. Nettoyage
    Si toutes les précautions décrites ci-dessus n’ont pas été respectées lors de la pose du revêtement MORTEX COLOR, un encrassement a pu se créer dans les pores et micro-cavités laissées dans le revêtement. Il s’agit d’une accumulation de fine poussière qui se tasse alors au fond des cavités et ne partira pas au premier passage d’eau en surface !
    Pour obtenir un nettoyage en profondeur, nous conseillons d’humidifier le support avec de l’eau à la température de la pièce. On laissera agir durant les minutes nécessaires la capillarité de l’encrassement pour que ce dernier se ramollisse et soit plus facilement éliminé par un passage léger au moyen d’une brosse douce, ce qui dégagera les résidus repris par une serpillière.
    Répéter l’opération si nécessaire.

  • Oui, ce type de technique de chauffage est entièrement compatible avec le revêtement MORTEX®. Comme pour les autres types de revêtements, des précautions doivent être prises pour assurer un bon fonctionnement, en ce qui concerne le support et le contrôle de la température.
    Support
    Pour l’application, la chape doit être sèche et propre (voir fiche technique sur www.bealinternational.com) et le chauffage doit être éteint 4 jours avant l’application.
    Lorsque le support est composé de matériaux de nature différente, non stable et/ou comportant des joints (ex : carrelages, système OPAL,…), il est impératif de prendre les précautions nécessaires pour éviter, dans la mesure du possible, tout mouvement dû à la dilatation, à la différence des tensions superficielles et internes et au cisaillement, à savoir et à choisir :
    • Filet d’armature ou natte textile armée aux jonctions
    • Filet d’armature à maroufler dans la 1ère couche technique.
    • Natte spéciale adhérence mortier textiles dans les angles
    • Membranes de désolidarisation sur l’entièreté de la surface

    Températures
    Comme pour un chauffage au sol classique, la température maximale sera de 28-30°C.
    La mise en service (par paliers de 2 à 3°C par 48 h au-dessus de la température du support) une fois le produit MORTEX® complètement sec (minimum 7 jours). Après un arrêt du système de chauffage la remise en service se fera toujours par variations de températures par paliers de 2 à 3 °C / 48 H.

  • Le support doit être sain, sec avant et après la pose, propre, mat, dénué de poussière et non gras. Il doit être dur, non gélif et non farinant.
    Le MORTEX® COLOR 2 adhère sur une multitude de supports :
    – Les supports minéraux : mortiers, chapes, bétons, enduits de maçonnerie, enduits à base de ciment, carrelages dépolis, etc…
    – Les supports en bois reconstitué ou agglomérés hydrofugés tels que le MDF (Medium)
    – Les panneaux de polystyrène ou polyuréthane recouverts d’un enduit de ciment armé ou panneaux de fibre ciment.
    – Le plâtre, les plaques de plâtre normales ou hydrofugées.
    – Des essais sur verre et métal ont été réalisés également avec succès.
    Pour tout autre support, effectuer des essais. Les revêtements plastiques sont à proscrire.
    Lorsque le support est composé de matériaux de nature différente, non stable et/ou comportant des joints (ex : carrelages), il est impératif de prendre les précautions nécessaires pour éviter, dans la mesure du possible, tout mouvement dû à la dilatation, à la différence des tensions superficielles et internes et au cisaillement, à savoir et à choisir :
    – Filet d’armature ou natte textile armée aux jonctions
    – Filet d’armature à maroufler dans la 1ère couche technique.
    – Natte textile spéciale pour adhérence au mortier, particulièrement dans les angles
    – Membranes de désolidarisation sur l’entièreté de la surface
    Il est indispensable de s’assurer de la bonne stabilité du support. En cas de doute, nous consulter. Un essai est toujours conseillé.

  • Pour les lavabos et lave-mains, le revêtement MORTEX® peut être conseillé. Les résultats sont magnifiques.
    Les impératifs de la protection doivent absolument être respectés par le client final. (Voir aussi FAQ « Comment entretenir le produit MORTEX ? »)

  • Deux couches de produit MORTEX® à fresco signifie que la première couche est encore fraîche au moment de passer la seconde, mais déjà en train de durcir. Les repères de l’état adéquat pour passer la seconde couche sont :
    • La pose de la paume de la main sur l’enduit ne doit plus le tacher.
    • Par contre, avec un léger effort et un mouvement circulaire, le doigt doit encore pouvoir entrer dans l’enduit MORTEX®.

  • Revêtement MORTEX COLOR 2-N, F1, F2, F3, F4:
    – sans protection: Entretien et nettoyage uniforme sans agent mordant
    – avec protection: Se référer aux fiches techniques spécifiques de chaque produit BEAL utilisé
    Pour l’entretien de propreté: FINISH SA TR dilué dans de l’eau
    Pour l’élimination du calcaire: voir FAQ « Comment nettoyer le calcaire sur le revêtement MORTEX® ? »
    Protections Polythane N120, FINISH SA, Oil OH, Bipur, Repeloil, Bealwax: Voir fiche spécifique de la protection concernée

  • Minimum 48 heures à 20°C dans des conditions normales. Le produit MORTEX® doit être assez « dur » sur toute son épaisseur et son adhérence doit être suffisante pour supporter les sollicitations du polissage éventuel.

  • • Poncer la protection en rentrant dans le produit MORTEX® jusqu’à disparition des taches.
    • Laisser sécher les taches d’humidité. Bien ventiler la pièce et constater la disparition des taches.
    • Si nécessaire appliquer les couches manquantes en vérifiant leurs épaisseurs(En respectant le protocole de pose repris dans les fiches techniques disponibles sur www.bealinternational.com ).
    • Appliquer la protection en bonne et due forme selon le protocole de pose.
    Ne jamais ajouter une couche de protection sur une tache car celle-ci enfermera la tache, empêchant son élimination par la suite.
    Si on ponce uniquement la protection, il y aura toujours des risques d’avoir des résidus dans les petites cavités du revêtement MORTEX®. C’est pourquoi on conseille de poncer en entrant dans le produit MORTEX® afin d’obtenir un revêtement MORTEX® vierge de toute protection.
    Par ailleurs s’il reste du produit de protection dans les microcavités du produit MORTEX®, vous aurez des taches plus foncées aux endroits où l’ancienne protection s’est incrustée. Vous aurez l’impression qu’il y a deux ou trois couches, alors que vous n’en avez appliqué qu’une seule.

  • Sur simple demande, Beal peut vous recommander les applicateurs les plus qualifiés de votre région. Vous pouvez pour ceci compléter le formulaire de demande sur notre site internet.
    Les applicateurs répertoriés dans notre liste ont prouvé leurs compétences au travers de plusieurs chantiers parfaitement exécutés. Bien sûr, cette liste est indicative, non exhaustive, et mise à jour continuellement en fonction des retours des chantiers.
    Avant d’entamer vos travaux, nous vous conseillons de toujours demander un échantillon comprenant la protection à votre applicateur pour voir le rendu du produit et vérifier que celui-ci corresponde parfaitement à vos attentes. Des effets et des nuances peuvent être attendus après la mise en oeuvre du produit.
    Pour rappel, préciser au préalable la destination d’utilisation du local afin de recevoir les meilleurs conseils de votre applicateur.

  • De nombreuses baignoires ont été réalisées avec succès.
    Cependant nous ne conseillons pas ce type de réalisation pour diverses raisons.

  • Si, pour une raison ou pour une autre (par exemple changer la couleur du revêtement ou exécuter une réparation), il faut éliminer la cire BEALWAX avec des chiffons en coton blanc et propres avec un léger apport de térébenthine. Des chiffons colorés peuvent déteindre et provoquer des taches.
    Déposer un peu de térébenthine sur une surface déterminée et passer le chiffon en frottant pour ôter la cire. Répéter l’opération jusqu’au moment où il n’y a plus de cire sur le chiffon.
    Si le produit MORTEX® est structuré et pas parfaitement plan, on n’arrivera pas à éliminer toute la cire BEALWAX se trouvant dans les petites cavités. Cette cire BEALWAX encore présente sera à l’origine d’un décollement d’un revêtement MORTEX® appliqué par-dessus.
    Nous conseillons, dans ce cas, d’abraser légèrement toute la surface pour éliminer tous les restes éventuels de cire BEALWAX. Il faut ensuite bien nettoyer et dépoussiérer la surface abrasée et l’environnement direct.
    Pour appliquer ensuite une couche de produit MORTEX®, il faut au préalable pour faciliter la pose de cette couche appliquer et laisser sécher une couche de primer RESIDUR.
    La protection choisie sera par la suite apposée selon le protocole de pose repris dans les fiches techniques disponibles sur www.bealinternational.com .

  • Pour retirer les traces de calcaire/tartre sur le revêtement MORTEX®, vous pouvez utiliser du vinaigre d’alcool blanc dilué dans de l’eau tiède que vous vaporisez et laissez agir quelques minutes avant de passer avec une éponge douce.
    Consultez notre fiche d’entretien complète dans la documentation.

  • Le revêtement Mortex® a une très bonne résistance au glissement (jusqu’à R13 avec pieds chaussés et jusqu’à A+B+C pieds nus). Lorsqu’une protection est appliquée, cette résistance peut être modifiée.
    Veuillez consulter notre fiche technique.

  • En fonction de la destination du chantier, vous pouvez choisir une ou l’autre protection reprise dans le tableau ci-dessous:

    Voir nos recommandations pour les protections

    Toujours se référer aux fiches techniques correspondantes avant utilisation.
    Pour l’entretien de votre protection, veuillez vous référer à la FAQ « Comment entretenir le produit MORTEX® ».

  • Afin d’obtenir un mélange qui présente les qualités techniques voulues, les étapes suivantes doivent être suivies avec rigueur:
    1. Bien mélanger le composant A dans son pot d’origine avec un ustensile de mélange ad hoc et différent de celui qui sera utilisé pour le composant B. Toujours éviter un apport d’air par un mélange trop rapide.
    2. Bien mélanger le composant B dans son pot d’origine avec un ustensile de mélange ad hoc et différent de celui utilisé pour le composant A. Toujours éviter un apport d’air par un mélange trop rapide.
    3. Préparer un troisième récipient propre.
    4. Tirer précisément au moyen d’une seringue A la quantité nécessaire du composant A et la verser dans le troisième récipient.
    5. Tirer précisément au moyen d’une seringue B différente de la seringue A la quantité nécessaire du composant B et la verser dans le troisième récipient.
    6. Bien mélanger l’ensemble. Toujours éviter un apport d’air par un mélange trop rapide.
    7. Une fois ce mélange effectué, verser ce mélange dans un quatrième récipient propre en ayant soin de bien racler les bords du troisième récipient.
    8. Bien mélanger à nouveau le quatrième récipient. Toujours éviter un apport d’air par un mélange trop rapide.
    9. Attendre quelques instants les remontées de bulles d’air éventuellement présentes.
    10. Le BIPUR/POLYTHANE N120 est prêt à l’application.
    11. Bien suivre les instructions propres à l’application du vernis en question (séchage entre les couches, etc.).
    Consultez les fiches techniques disponibles sur www.bealinternational.com

  • 1. Identifier la cause
    L’eau s’infiltre insidieusement par une micro fissure, un trou, une ouverture quelconque dans l’enduit MORTEX®. Cette eau s’infiltre de manière plus ou moins lente.
    Elle est reprise par capillarité dans le support, faisant gonfler ce dernier (ex. : plâtre) et pouvant créer certains autres désordres comme des sels. La résultante est le décollement de l’enduit MORTEX® avec son primaire.
    Dans une salle d’eau, la jonction entre le sol et les murs avec l’enduit MORTEX® est très importante.
    Comment réaliser dans les reprises et les coins une liaison imperméable avec l’enduit MORTEX®?
    Toujours exécuter les coins et les reprises au cours de la même opération, en effectuant la méthode de l’escalier ou un chanfrein.
    Exécution éventuelle d’un joint souple MS polymère. Voir FAQ « Quel type de joint souple de dilatation peut-on utiliser entre les revêtements MORTEX® ou entre le revêtement MORTEX® et un autre matériau ? »
    Ne jamais exécuter une jonction d’un enduit frais sur un enduit sec pour éviter les risques de création de micros espaces qui n’assurent pas l’imperméabilité du système et provoquent les problèmes mentionnés ci-dessus.
    2. Comment réparer ?
    Éliminer toutes les parties non adhérentes ou déformées par l’humidité ainsi que toutes les parties ne permettant pas une réparation techniquement imperméable et esthétique.
    Bien laisser sécher.
    Réparer si nécessaire le support.
    Laisser sécher le temps nécessaire en fonction des produits de réparation mis en œuvre.
    D’un point de vue technique, il est toujours conseillé de refaire l’entièreté du mur avec l’enduit MORTEX®, malgré que des réparations partielles ont déjà été réalisées avec succès.
    Il est difficile d’apporter des réparations très locales à moins d’être un expert ou d’avoir un enduit MORTEX® très travaillé, et en couleurs, et en structure.

  • Le revêtement MORTEX® offrant des possibilités esthétiques multiples, il est en général superflu d’y ajouter une peinture.
    En plus des couches MORTEX® techniques, il existe des revêtements MORTEX® spécifiquement développés, avec des textures très fines, pour ajouter la touche esthétique que vous souhaitez. Consultez pour ceci les revêtements MORTEX COLOR 2-F1, F2, F3 et F4. A TRADUIRE
    Si toutefois c’était le cas, les propriétés physiques du produit MORTEX® sont similaires à celles de la plupart des pierres. Il faut demander au fournisseur de votre peinture sur quel support celle-ci peut être appliquée.

    Il sera plus que conseillé dans certains cas (produit BEALWAX, etc.) de retirer la protection présente sur le revêtement MORTEX® s’il y en a une.
    Dans tous les cas, un nettoyage s’impose pour rendre la surface saine et propre.
    Le revêtement MORTEX® permet la diffusion de vapeur d’eau (µ=99). Il faut en tenir compte pour le choix du type de peinture à venir appliquer pour ne pas perturber la migration hydrique et créer des problèmes.

    NB: il est aussi possible de replacer du revêtement MORTEX® sur de la peinture.

  • Le produit MORTEX®, bien qu’imperméable dans sa masse, se comporte comme la plupart des pierres naturelles (microporeuse en surface). Dès lors, une finition de protection pour les taches (vin, graisses, etc.) est recommandée en intérieur : vernis, huile, huile-cire, oléofuge, hydrofuge, etc.

    Voir aussi FAQ « Quelle protection apporter au revêtement MORTEX »

    Dans tous les cas, nous recommandons des tests et échantillons au préalable afin de valider la finition et protection adéquates.

  • Des réparations peuvent être réalisées avec le MC 2-F1-F2-F3-F4 en fonction de la largeur des fissures. Il faut que l’un de ces produits puisse pénétrer avec toute sa granulométrie.
    Attention tenir compte que plus on va vers une courbe granulométrique fine, plus la poudre du produit MORTEX® est blanche, le F4 étant la plus fine des granulométries.
    Exemple: réparation d’une microfissure au moyen d’un mélange de MC2-F4 teinté dans la couleur du chantier.

    1. Aspirer les poussières de la fissure ou de la microfissure et nettoyer à l’eau si nécessaire.

    2. Attendre un séchage complet.

    3. Faire un essai sur une plaquette pour contrôle de couleur (contrôle par comparaison) après avoir attendu le séchage complet du F4.

    4. Traiter cet essai avec la protection appliquée (BIPUR – BEALWAX – POLYTHANE N 120,…) sur le chantier donnera la teinte réelle finale. En effet la protection peut encore apporter des modifications de la teinte.

    5. Ensuite, apposer cette plaquette sur votre support pour comparer le résultat (sans omettre que vous allez encore la vernir).

    6. Après avoir traité votre plaquette d’échantillon, répéter le contrôle de la teinte.

    7. Répéter l’opération si le résultat n’est pas positif. Vous pouvez réaliser plusieurs essais de teintes en même temps. Cela vous fera gagner du temps.

    8. Lorsque vous serez arrivé à la teinte souhaitée, faites un petit mélange avec la bonne proportion de BEALCRYL 2.

    9. Déposer une petite quantité sur le bout d’un doigt ganté, poser ce doigt sur la fissure et insérer le produit MORTEX COLOR-F4 en tournoyant le doigt pour que la matière pénètre dans la fissure.

    10. Attendre 48 heures de séchage.

    11. Poser la protection suivant le protocole de pose.

    Déborder de la fissure peut être une aide pour masquer les taches dans le cas d’une finition mouchetée.
    Voir aussi FAQ « Comment diminuer l’apparition de fissures dues au mouvement dans le revêtement MORTEX® ? »

  • Lorsque des taches tenaces se présentent sur un support et notamment sur le produit MORTEX® on peut tenter le système de succion par capillarité.
    Après avoir tenté de nettoyer avec une brosse douce et de l’eau savonnée :
    1. Humidifier la tache au moins 10 minutes avec de l’eau tiède.
    2. Ramasser l’eau.
    3. Humidifier à nouveau.
    4. Placer plusieurs feuilles de papier absorbant une par une en les superposant, bien à plat sur la tâche en débordant de 10 cm. 10 à 20 feuilles peuvent être nécessaires.
    5. Bien humidifier l’ensemble des couches et chasser l’air pour que les feuilles de papier soient bien à plat en parfait contact avec le support
    6. Laisser sécher naturellement sans intervenir. Ne pas créer de courant d’air.
    7. En séchant en surface, les pores des papiers se libèrent et les capillaires exercent une succion qui a tendance à tirer l’encrassement du support et la transférer dans les feuilles de papier.
    8. Retirer les couches de papier après leur séchage complet.
    9. Constater le résultat.
    10. Répéter l’opération si nécessaire.
    Si la tache provient d’une petite cavité ouverte dans le produit minéral MORTEX® et que la protection n’a pas traité cette cavité, le système ne sera pas performant vu que l’aspiration ne pourra se concentrer que sur cette petite cavité et non sur la tache entière.
    Recommencer l’opération si nécessaire.

  • C’est une couche de MORTEX COLOR 2-N ayant une épaisseur comprise entre 1 mm et 1.5 mm avec un séchage de 8h au minimum et de 24h au maximum avant l’application éventuelle d’une couche suivante.
    Voir FAQ « Quels sont les différents systèmes Mortex® ? »

  • Il s’agit de la pose de couches successives d’enduit MORTEX® avec un temps de séchage compris entre 8h et 24h entre chaque couche.

  • Des réalisations avec le produit MORTEX® ont été réalisées depuis 1990. Ces dernières sont toujours dans un excellent état.
    Naturellement, cela dépend du choix du système MORTEX® en fonction du chantier ainsi que de l’application du produit MORTEX®, du choix du type de protection et de l’entretien qui lui est consacré.

  • Non. Le produit MORTEX® a été spécialement conçu pour être appliqué en couches minces telles que décrites dans les fiches techniques.

  • Après la pose d’une partie du sol par exemple dans un coloris, il faut placer une latte de plexiglas de l‘épaisseur et de la longueur du joint à créer. Fixer la latte au moyen de chevillettes. Terminer la pose de l’enduit MORTEX® qui viendra mourir contre la latte.
    24 heures plus tard, relever la latte pour la désolidariser de l’enduit coulé.
    Attendre encore 24h et ensuite utiliser la partie déjà coulée comme coffrage en plaçant sur celle-ci un tape* d’une largeur suffisante pour permettre de ne pas salir la surface avec la nouvelle coulée de produit MORTEX® dans un autre coloris. Ne pas laisser le tape* trop ancien. Après la pose, retirer directement le tape.
    À la fin du travail, il est conseillé d’effectuer un léger polissage sur l’ensemble et le joint ainsi créé entre les différentes teintes de produits MORTEX®.
    *Utilisation d’un tape « ad hoc »

  • Il n’y a à priori aucune solution pour résoudre ce problème si ce n’est d’éliminer le vernis mécaniquement.
    C’est-à-dire poncer la surface avec un outil diamanté (grain entre 100 et 150) afin d’enlever le vernis.

    Attention de ne pas endommager les couches du revêtement MORTEX®. Si c’est le cas procéder à une nouvelle application du revêtement MORTEX® conformément aux protocoles de pose.

    Attention de bien éliminer le vernis dans les cavités éventuelles.

  • Si pour une raison ou pour une autre (par exemple changer la couleur du revêtement ou exécuter une réparation) il faut éliminer cet aspect ciré, la meilleure solution est de l’enlever mécaniquement (à condition que la cire soit complètement sèche) en abrasant la surface traitée avec un disque diamanté (grain entre 100 et 150).

    (Vous pouvez directement passer au point 3 si la cire est bien dure.)

    1. Nettoyer à l’essence de térébenthine avec un chiffon coton blanc la surface afin d’enlever le plus de cire possible.
    2. Utiliser un nettoyeur à vapeur style vaporetto pour essayer à nouveau d’enlever le plus de résidus de cire possibles.
    3. Abraser/poncer la surface de façon à ce qu’il n’y ait plus aucune trace de cire.
    Il est à noter que s’il reste des traces de cire, le vernis n’adhérera pas à ces endroits, ce qui rendra la douche non étanche. Il faut donc veiller à bien tout enlever, opération assez délicate donc.
    4. Bien aspirer et nettoyer la surface pour enlever toute trace de poussière.
    5. Après séchage complet, appliquer la protection choisie selon la méthode recommandée par Beal.
    Réserve : après le point 3, il est possible qu’il reste des traces de cire bien sèche et durcie dans toute son épaisseur. Le vernis doit pouvoir tenir dessus en principe mais nous n’avons pas de test à cet égard.
    Le ponçage normalement doit se faire avec un disque diamanté. Ce dernier peut abîmer le MORTEX. Dans ce cas, éliminer une partie de ce dernier sur une profondeur de l’ordre de 0,5 mm. Appliquer une couche de ² suivie d’une couche de MORTEX COLOR 2-F1 bien lissée.

    Si le produit MORTEX est structuré et pas parfaitement plan, il ne sera pas possible d’éliminer toute la cire se trouvant dans les petites cavités, sans attaquer la dernière couche de produit MORTEX.

    Nous conseillons donc d’abraser toute la surface jusqu’à l’obtention d’une surface parfaitement plane, sans pores ouverts.

    Il faut bien nettoyer et dépoussiérer la surface abrasée et l’environnement direct.
    Après avoir appliqué et laissé sécher une couche de primer RESIDUR, une nouvelle couche de produit MORTEX sera appliquée sur le support.

    Cette dernière recevra, en fonction du protocole de pose, la protection choisie.
    En cas de présence d’huile fraîche, des essais peuvent être réalisés avec de la térébenthine.

  • Si pour une raison ou pour une autre (par exemple changer la couleur du revêtement ou exécuter une réparation) il faut éliminer cet aspect huileux, la meilleure solution est de l’enlever mécaniquement (à conditions que l’huile soit complètement sèche) en abrasant la surface traitée avec un disque diamanté (grain entre 100 et 150).

    (Vous pouvez directement passer au point 3 si l’huile est bien dure.)

    1. Nettoyer à l’essence de térébenthine avec un chiffon coton blanc la surface afin d’enlever le plus d’huile possible.
    2. Utiliser un nettoyeur à vapeur style vaporetto pour essayer à nouveau d’enlever le plus de résidus d’huile possibles.
    3. Abraser/poncer la surface de façon à ce qu’il n’y ait plus aucune trace d’huile.
    Il est à noter que s’il reste des traces d’huile, le vernis n’adhérera pas à ces endroits, ce qui rendra la douche non étanche. Il faut donc veiller à bien tout enlever, opération assez délicate donc.
    4. Bien aspirer et nettoyer la surface pour enlever toute trace de poussière.
    5. Après séchage complet, appliquer la protection choisie selon la méthode recommandée par Beal.
    Réserve : après le point 3, il est possible qu’il reste des traces d’huile bien sèche et durcie dans toute son épaisseur. Le vernis doit pouvoir tenir dessus en principe mais nous n’avons pas de test à cet égard.
    Le ponçage normalement doit se faire avec un disque diamanté. Ce dernier peut abîmer le Mortex. Dans ce cas, éliminer une partie de ce dernier sur une profondeur de l’ordre de 0,5 mm. Appliquer une couche de MORTEX COLOR 2-N suivie d’une couche de MORTEX COLOR 2-F1 bien lissée.

    .Si le produit MORTEX est structuré et pas parfaitement plan, il ne sera pas possible d’éliminer toute l’huile se trouvant dans les petites cavités, sans attaquer la dernière couche de produit MORTEX.

    Nous conseillons donc d’abraser toute la surface jusqu’à l’obtention d’une surface parfaitement plane, sans pores ouverts.

    Il faut bien nettoyer et dépoussiérer la surface abrasée et l’environnement direct.
    Après avoir appliqué et laissé sécher une couche de primer RESIDUR, une nouvelle couche de produit MORTEX sera appliquée sur le support.

    Cette dernière recevra, en fonction du protocole de pose, la protection choisie.
    En cas de présence d’huile fraîche, des essais peuvent être réalisés avec de la térébenthine

  • Si pour une raison ou pour une autre (par exemple changer la couleur du revêtement ou exécuter une réparation) il faut éliminer cet aspect huileux, la meilleure solution est de l’enlever mécaniquement (à conditions que l’oléofuge soit complètement sèche) en abrasant la surface traitée avec un disque diamanté (grain entre 100 et 150).

    (Vous pouvez directement passer au point 3 si l’oléofuge est bien dure.)

    1. Nettoyer à l’essence de térébenthine avec un chiffon coton blanc la surface afin d’enlever le plus d’oléofuge possible.
    2. Utiliser un nettoyeur à vapeur style vaporetto pour essayer à nouveau d’enlever le plus de résidus d’oléofuge possibles.
    3. Abraser/poncer la surface de façon à ce qu’il n’y ait plus aucune trace d’oleofuge.
    Il est à noter que s’il reste des traces d’oléofuge, le vernis n’adhérera pas à ces endroits, ce qui rendra la douche non étanche. Il faut donc veiller à bien tout enlever, opération assez délicate donc.
    4. Bien aspirer et nettoyer la surface pour enlever toute trace de poussière.
    5. Après séchage complet, appliquer la protection choisie selon la méthode recommandée par Beal.
    Réserve : après le point 3, il est possible qu’il reste des traces d’oléofuge bien sèche et durcie dans toute son épaisseur. Le vernis doit pouvoir tenir dessus en principe mais nous n’avons pas de test à cet égard.
    Le ponçage normalement doit se faire avec un disque diamanté. Ce dernier peut abîmer le Mortex. Dans ce cas, éliminer une partie de ce dernier sur une profondeur de l’ordre de 0,5 mm. Appliquer une couche de MORTEX COLOR 2-N suivie d’une couche de MORTEX COLOR 2-F1 bien lissée.

    Si le produit MORTEX est structuré et pas parfaitement plan, il ne sera pas possible d’éliminer toute l’oléofuge se trouvant dans les petites cavités, sans attaquer la dernière couche de produit MORTEX.

    Nous conseillons donc d’abraser toute la surface jusqu’à l’obtention d’une surface parfaitement plane, sans pores ouverts.

    Il faut bien nettoyer et dépoussiérer la surface abrasée et l’environnement direct.
    Après avoir appliqué et laissé sécher une couche de primer RESIDUR, une nouvelle couche de produit MORTEX sera appliquée sur le support.

    Cette dernière recevra, en fonction du protocole de pose, la protection choisie.
    En cas de présence d’oléofuge frais, des essais peuvent être réalisés avec de la térébenthine.

  • Les bulles provoquées dans un produit tel que vernis, laque, peinture,… peuvent provenir:

    • d’un mélange effectué trop rapidement. On insuffle à ce moment de l’air dans le produit. Cet air ressort après la pose tant que le produit n’est pas sec. L’air peut même être emprisonné avant d’arriver à la surface.

    • d’un mélange d’un produit trop froid. En effet si par exemple un pot de 5 kg de vernis est froid, la viscosité est différente et les bulles remonteront plus difficilement en surface. Cela peut arriver également même si le mélange est effectué lentement. Il y aura toujours des bulles.

    Si le vernis est appliqué à la bonne température sur un support trop froid, le phénomène sera identique. La viscosité d’un liquide augmente quand la température diminue. Donc plus la température est basse plus le produit est épais.
    Les bulles peuvent être emprisonnées dans le vernis si ce dernier n’est pas assez frais. (si le potlife est dépassé).

    Remarque: un emballage de 5 kg de vernis a besoin de plusieurs heures pour arriver à la température du local et du support sur lequel il doit être appliqué.
    La réflexion est la même pour la température du support qui peut être différente de celle de la température ambiante (ex. inertie du béton).
    Parfois à la fin d’un chantier, on va chercher le pot de vernis qui est resté dans la camionnette à l’extérieur (température plus froide) et on pense qu’en quelques minutes ou en une heure, la masse liquide du vernis arrivera à la bonne température. C’est faux!

    Une température idéale pour que les vernis commencent à bien s’appliquer normalement se situe entre 12 et 25° pour la plupart des vernis transparents et parfois entre 10 et 30°C.
    Cela dépend également du taux hygrométrique ambiant.
    Plus la température est haute, plus la fluidité sera grande.

    Ces règles sont supposées être connues des professionnels du secteur.

  • Oui, sous les conditions suivantes :
    • Impérativement il faut que le support minéral (bloc béton, voiles de béton rugueux) ou le cimentage soit en parfait état, propre et sain et non décollé.
    • S’il connait des fuites, vraisemblablement il connait des défaillances qui sont peut-être dues au vieillissement ou à des fissures provoquées par des mouvements.
    • Si c’est uniquement un problème de fissures, le bouchage par remplissage de celles-ci au moyen de notre produit MORTEX RAPID + peut suffire.
    • Le degré français (dureté de l’eau) est également important à connaître.

    Le produit MORTEX COLOR 2-N peut convenir sous ces précautions. Utilisation en trois couches de 1 à 1.5 mm appliquées à la brosse en couches croisées.
    Attention l’épaisseur minimale du sillon laissé par la brosse doit avoir minimum 1 mm d’épaisseur.
    Votre bassin doit être en blocs bétons ou cimenté. Il doit être propre et sain. La structure doit être stable pour éviter toute apparition de fissures.

    Le produit peut être utilisé pour des bassins avec des poissons ornementaux d’eau douce.

    Attention : le produit MORTEX COLOR 2-N n’a pas passé de tests pour « eau potable ».

  • Choix de la protection du revêtement MORTEX® dans des conditions extrêmes d’humidité:

    Il existe différents types de hammams, spas wellness, bains turcs, etc…

    Afin de choisir la protection adéquate au revêtement MORTEX® dans des conditions extrêmes, il faut distinguer les espaces privés des espaces publics car l’utilisation, l’entretien, les normes d’hygiène pour chaque cas seront différentes.

    Les hammams sont des espaces à haute température et à humidité concentrée, avec peu de ventilation ou avec une ventilation forcée. Ils ont l’inconvénient d’une prolifération rapide des champignons, d’où l’importance d’un protocole de maintenance le plus continu possible.
    L’utilisation de produits à pH neutre est conseillée pour le nettoyage régulier, qui doit être quotidien dans le cas d’un espace public. L’utilisation de produits à pH alcalin peut se faire pour des actions spécifiques, ponctuelles et rapides (sans laisser de dépôt agir trop longtemps sur le support). Un essai préalable est toujours recommandé.

    D’une manière générale, le raccord entre le revêtement MORTEX® et un autre matériau se fera à l’aide d’un joint souple (spécial pierre naturelle et résistant à de hautes températures) entre ceux-ci afin d’assurer une étanchéité si dilatation il y a. L’absence de joint souple entre le revêtement Mortex et un autre matériau peut provoquer, après une légère dilatation, une fissure ou un interstice qui provoquera un passage d’eau sous la protection appliquée, amenant un changement de couleur et des dégâts ultérieurs.

    Ce problème d’hydratation du revêtement MORTEX® est récurrent si le support est abîmé et/ou si la protection se détériore. Le joint souple réclame une inspection régulière et doit être remplacé si nécessaire.

    Sur toutes les protections proposées, une couche finale de BEALwax lustrée à la machine peut être appliquée. Ceci donnera une durée de vie plus longue à la protection. Cette couche de cire sera renouvelée dans le temps selon l’utilisation.

    Après l’étape de nettoyage, une étape d’entretien au FINISH SA/TR est recommandée. Dans un seau de 5Lt d’eau chaude, mélanger une poignée de FINISH SA/TR et à l’aide d’un torchon ou d’un mop appliquer une couche sur l’ensemble de la surface avant nouvelle utilisation.

    Bipur :
    Spécialement indiqué pour les nouveaux espaces, les rénovations et les transformations, à condition que le support n’ait pas été au préalable protégé par des huiles, produits gras ou produits hydro-oléofuges.
    Le nettoyage est relativement facile et se fera toujours avec des produits à pH neutre.(ex. FINISH SA : 1 poignée dans 5L d’eau tiède et propre.

    La meilleure protection sera de deux couches a fresco (une fois sèche au toucher) et une troisième couche au minimum 12h après.
    Cette protection est idéale pour des espaces privés, où la fréquence d’utilisation est d’une fois par semaine.
    Il faut effectuer le nettoyage après chaque utilisation pour éviter que l’utilisation de produits corporels de base acide n’attaque la protection par une trop longue exposition.

    Polythane N 120 :
    Plus résistant à la griffe et aux attaques chimiques que le Bi-pur, il se comporte globalement de la même manière.
    Les inconvénients du solvant sont l’odeur très forte et nocive à l’application. Un problème d’adhérence peut être provoqué par une humidité négative emprisonnée sous le vernis qui désolidariserait à terme la protection.
    Il faut effectuer le nettoyage régulièrement pour éviter que l’utilisation de produits corporels de base acide n’attaque la protection par une trop longue exposition.

    Oïl OH/TR :
    C’est la protection la moins compliquée tant pour son application que pour son entretien par contre c’est celle qui demandera le nettoyage et l’entretien le plus continu.
    Un risque de variation chromatique peut se produire à l’usage. Cette variation peut-être due à un lavage de la protection, à une variation de température, à l’eau, à la transpiration corporelle et/ou aux huiles corporelles.
    Le nettoyage se fera toujours avec des produits à Ph neutre ou Ph élevé pour l’élimination ponctuelle de champignons et finir avec un rinçage à l’eau claire.

    Pas de protection :
    Le revêtement MORTEX® se comporte parfaitement dans cet environnement, en s’hydratant pendant l’utilisation et en s’asséchant par la suite.
    Le risque existe, et se produit fréquemment, que le matériel se colore à cause des huiles corporelles, de la transpiration et des autres produits utilisés. Petit à petit, cette coloration va s’homogénéiser complètement sur l’ensemble du revêtement avec l’utilisation.
    Le nettoyage doit être quotidien en cas d’espace public et après utilisation en cas d’espace privé. Ce nettoyage se fera avec la pulvérisation d’un savon à Ph neutre, brosser avec brosse à poils semi-rigides voir rigides, laisser agir et rincer à l’eau claire ou à l’aide d’un nettoyeur sous pression à 1 m de distance et pouvant s’approcher ponctuellement jusqu’à minimum 15 cm du support .

  • Directement après l’application, les spectres de joints de carrelage apparaissent à travers l’enduit MORTEX®.
    Le mieux est de remettre une couche de MORTEX® après séchage de 48h.
    Pour éviter l’apparition des spectres, la mise en œuvre d’un treillis sur la première couche technique (ou marouflé dans cette première couche).
    Il est possible que ces spectres apparaissent plus tard si les épaisseurs des différentes couches du système MORTEX ne sont pas suffisantes.

  • Le MORTEX® peut être posé sur le mur du conduit de votre cheminée. La température ne doit pas excéder les 40-50°C.
    Il ne faut pas de préparation spécifique à votre conduit de cheminée mais spécifique à votre support.
    Si le support est poreux et minéral, le Residur fera amplement l’affaire.

    Des protections vernis et huiles sont possibles.

  • Mobilier: application INTERIEURE de produit MORTEX sur panneaux de bois.
    Cette technique ne convient pas pour les douches, hammams, supports humides ou similaires.
    Attention: en fonction des épaisseurs des l’enduit MORTEX, de l’importance des surfaces à couvrir et de son assemblage, il se peut que l’on doivent respecter le même nombre de couches au resto et au verso des panneaux. Nous conseillons toujours une visserie en INOX.

    1. Dépoussiérage et nettoyage des surfaces.
    2. Préparation des joints entre plaques destinés à être invisibles (voir FAQ « MORTEX PANNEAUX »). Un tissus d’armature peut ne pas être suffisant. On peut profiter éventuellement du joint pour le marquer en biseautant chaque côté des plaques jointives.
    3. Biseauter les angles sortants de l’épaisseur de la granulométrie du système de produit MORTEX choisi en fonction de la destination du chantier. Ceci permettra de réaliser un angle parfait avec la matière.
    4. Application du PRIMER correspondant suivant la porosité et la structure des panneaux.
    • RESIDUR pour surface poreuse type MDF (Médium), OSB etc.
    • RESIPACT G pour des surfaces lisses et brillantes préalablement poncées pour l’accroche du PRIMER.
    5. Application de l’enduit MORTEX choisi en première couche.
    6. Réaliser un léger chanfrein dans les angles rentrants pour éviter toute entrée d’eau dans les locaux humides (salles-de-bain par ex.). ???contradiction avec intro (idem autres langues)
    7. Application de la deuxième couche.
    8. Ensuite application classique de plusieurs couches de protection en fonction de la destination du chantier et du choix du client
    En cas de doute, nous consulter.

  • Plaques OSB, MDF et similaires.
    Il est possible, pour tenter d’éviter des fissures dues aux mouvements et/ou à la dilatation du support, de placer du produit MORTEX sur un plancher en OSB / MDF. Pour cela, nous préconisons de coller et visser (visses en inox pour éviter la rouille) deux couches de plaques d’OSB / MDF, en les croisant (1ère couche de gauche à droite et 2ème couche de manière perpendiculaire), comme montré ci-dessous.

    Schéma plaques MDF OSB croisées

    Ensuite, une membrane de désolidarisation sera marouflée dans la première couche technique de MC2-N. Ceci permettra d’obtenir une plus grande stabilité dans votre sol et diminue le risque de fissures, bien que le risque zéro n’existe pas.

    C’est naturellement la manière de placer ces plaques et la qualité donnée au travail qui assurera la stabilité de cette structure.
    Naturellement on est jamais à l’abri d’un mouvement très important.

  • Beal est le seul fabricant des produits de la gamme CAPILASIL® et qui en a déposé le nom. Nous vous conseillons de prendre garde aux imitations et contrefaçons, car elles ne répondent pas aux mêmes exigences de qualité.
    Les produits BEAL INTERNATIONAL, et en particulier les produits MORTEX®, BEALSTONE® et CAPILASIL® sont des produits protégés. Ceux-ci répondent à des exigences strictes de qualité pour lesquelles BEAL INTERNATIONAL s’oblige à des garanties de résultat. BEAL INTERNATIONAL est l’unique fabricant ses produits.

    La distribution des produits est assurée par BEAL INTERNATIONAL et ses distributeurs (officiels et non-officiels). Les points de vente sont disponibles sur www.beal.be

    De nombreuses entreprises concurrentes cherchent à utiliser la renommée de BEAL INTERNATIONAL et de ses produits pour induire le consommateur en erreur, n’hésitant pas à utiliser des moyens mensongers, trompeurs ou dénigrants pour commercialiser des produits de bien moindre qualité ou sans autorisation. Nous vous remercions de rester vigilant à l’égard de toute contrefaçon ou imitation et le cas échéant, d’en informer la direction par mail via l’adresse info@beal.be.

  • La gamme CAPILASIL® est une gamme d’hydrofuges en phase aqueuse et/ou en phase solvant.
    Les hydrofuges CAPILASIL® sont des produits à base de siloxanes oligomères sous forme de très petites molécules. Ces dernières n’ont donc pas tendance à boucher pas les pores. La solution la plus concentrée (10% de matières actives sur base d’un concentré à 100%) ne bouche les pores qu’à raison de 2%, ce qui est parfaitement négligeable.
    Pour les CAPILASIL® en phase solvantée, il faut toujours être vigilant de ne pas se trouver face à des matières ou matériaux sensibles aux solvants (isolants, roofing, asphalte, etc…).
    Pour les CAPILASIL® en phase aqueuse sont à proscrire sur des surfaces déjà hydrofugées, le produit étant répulsif à tout support hydrofugé.
    Les supports doivent être secs avant un traitement pour que la pénétration soit idéale.
    La pose des produits en pulvérisation est déconseillée (surtout pour les produits solvantés). L’eau ou les solvants organiques contenus dans ces produits auront tendance à s’évaporer et, par conséquent, ne vont pas parfaitement jouer leur rôle au sein des murs. En effet, l’eau ou les solvants sont les agents « transporteur » des matières actives indispensables dans le support pour permettre une excellente diffusion, qui sera toujours à la base d’un traitement parfaitement réussi.
    C’est la raison pour laquelle nous utilisons dans les solutions solvantées des solvants organiques (des aromatisés en grande partie) lourds qui grâce à leur évaporation lente aideront le produit à bien se diffuser dans le support. C’est un atout complémentaire pour réussir un traitement efficace.

  • Deux bases différentes de produit CAPILASIL pour l’injection tout comme pour la protection des façades.

    1.Phase solvant:
    BEAL formule le CAPILASIL en base solvantée à base d’une concentration de matières actives composée de siloxanes oligomères (10% de concentration) au moyen d’un solvant désaromatisé, de très haute qualité et de très haute performance. Les aromates sont éliminés en grande partie, mais il en reste encore un peu.
    Le solvant est lourd pour permettre la poursuite de la diffusion après l’injection. Le solvant s’évapore alors et laisse place à la barrière créée par la polymérisation du système siloxane oligomère. Le solvant est le support du produit. Il est non polaire, il ne se mélange donc pas à l’eau.
    Dans un premier temps, le solvant agit comme une barrière et, dès qu’il s’évapore,une polymérisation se produit pour former la véritable barrière ( la barrière est effective le jour de l’injection). Toute humidité présente dans le substrat est un facteur qui accélère la polymérisation.
    Ne pas utiliser cette base ‘solvant’ s’il y a des éléments sensibles aux solvants dans les murs, au sol et sous la chape ou le béton, etc. Dans cas, utiliser le CAPILASIL HEH2O à base d’eau).

    Chauffer (en période froide) et ventiler les pièces traitées pour évaporer les solvants et l’humidité encore présents sur les murs. Les derniers résidus aromatiques des produits sont naturellement plus odorants lorsqu’ils sont chauffés. Par conséquent, les chauffages de stockage augmenteront considérablement l’odeur des aromates (par exemple, une sauce froide chauffée libèrera ses aromates).

    La durée du processus de séchage dépend des composants des revêtements (peinture, plâtre, chaux, ciment,carreaux, etc), du chauffage (périodes froides) et de la ventilation. Cela dépend donc de qui y vit.
    En général, pour les murs non couverts, il faut compter 6 mois à 1,5 an, voire plus. Dans les endroits ouverts au vent (cadres non placés), nous avons constaté un séchage rapide de l’ordre de 2 à 3 mois.

    2. Phase aqueuse
    BEAL formule le CAPILASIL HEH2O à base de siloxanes dilués dans l’eau.

    L’avantage de ce type de produi est qu’il est totalement inodore.
    D’autre part, il faut comprendre que l’injection va apporter au substrat une quantité importante d’eau nécessaire à la difffusion des siloxanes. Cette eau doit également s’évaporer. Par conséquent, le processus de séchage sera beaucoup plus long qu’avec un produit à base de solvant, dont le solvant s’évapore plus facilement. Il yaura également une formation de sels supplémentaires lorsque l’eau sera ajoutée dans un milieu alcalin.

    La barrière n’est pas efficace le jour de l’injection, mais bien plus tard. Les siloxanes commencent à se polymériser lorsque l’eau s’évapore, donc lentement. La polylmérisation commence généralement après un mois et plus rapidement par temps chaud.

    Il existe également un risque qu’en présence d’une humidité plus élevée, les siloxanes polymérisés ne soient activés que lorsque l’eau contenue dans les produits et les parois soit évaporée.
    Le temps de séchage dépend des composants des revêtements (peintures, plâtre, chaux, ciment, carreaux, etc), du chauffége (périodes froides) et de la ventilation. Cela dépend donc de qui y vit.
    En général, pour des murs nus, il faut compter 6 mois à 2 ans.

    Dans les endroits ouverts au vent (cadres non placés), il a été constaté que le séchage est beaucoup plus rapide, et après 10 mois, des résultats probants ont été observés.

  • Tous les problèmes d’humidité sont une résultante de la capillarité, donc de l’action des capillaires, des matériaux, excepté bien entendu pour les entrées directes d’eau.
    Prêter une attention spéciale à la manière dont l’humidité ascensionnelle vous est annoncée par les professionnels !
    En effet, il existe plusieurs appareils sur le marché dont le plus vendu est un appareil qui laisse passer un courant entre deux électrodes. L’eau étant « bon conducteur », la mesure est reprise sur le cadran et donne une échelle correspondant à un pourcentage d’humidité contenu dans les murs.
    Il faut savoir qu’il n’y pas que l’eau qui est un élément conducteur, mais également les sels et ces derniers sont très souvent présents dans les maçonneries : les phosphates, les sulfates, les chlorures, etc..

    Il se peut donc que des appareils à électrodes ne soient pas indiqués pour obtenir des résultats probants au taux d’humidité. En effet, ces appareils fonctionnent sur base d’un courant passant entre deux électrodes. Plus le support est humide et plus il indiquera une mesure élevée. Mais il peut également être trompé par des sels se trouvant dans un mur sec. Les sels sont des éléments conducteurs.

    Le seul système agréé est la méthode CM (Carbure Méthode). Cet appareil est à votre disposition chez BEAL sur base d’une réservation préalable pour l’explication technique et d’une caution.

    Dans certains cas, on peut constater des formations de chlorures pour les habitations qui reçoivent de l’eau avec des sels de déneigements le long des routes ou alors des habitations en milieu côtier marin.
    À cela peuvent s’ajouter des nitrates issus de décompositions organiques (fermes, anciennes étables, etc.). Faites attention également aux briques et matériaux poreux de réemploi qui peuvent contenir des nitrates en fonction de leur provenance.
    Le traitement contre l’humidité ascensionnelle dans ce type de bâtiment est l’une des premières opérations à faire pour pouvoir permettre aux murs de s’assécher plus rapidement puisque le bâtiment est ouvert à tous les vents.
    La cristallisation des sels est un phénomène courant et ces sels ont tendance à prendre du volume ce qui provoque des décollements de parachèvement voire des éclatements dans les matériaux mêmes.
    Tous les sels sont hygroscopiques et retiennent l’eau. Lors de traitements effectués et qui sont efficaces dans la zone d’injection, il pourra toujours rester au-dessus de la barrière d’injection des zones de maçonnerie qui contiennent des sels et notamment des nitrates. En cas de forte concentration, ces sels peuvent provoquer des désordres (taches d’humidité) à des endroits très spécifiques et cela n’aura plus rien à voir avec des problèmes d’humidité ascensionnelle.
    La présence de ces sels peut être également un élément très influençable quant à la source réelle d’humidité.
    Après un traitement contre l’humidité ascensionnelle, l’eau restant dans les murs doit encore s’éliminer par elle-même par le processus d’évaporation. Les sels étant solubles, l’eau est un agent transporteur de ces derniers qui restent à la surface lorsque l’eau s’évapore.
    Il y a d’autres systèmes pour parer à cet inconvénient, par exemple l’enduit MORTEX NO3. Pour plus de renseignements concernant ce problème, veuillez nous contacter. Fabrication sur commande en fonction de la disponibilité des matières premières.
    Les murs contiennent des capillaires et ont une tension superficielle propre aux matériaux présents. Le rôle d’un bon produit d’injection est de laisser une perméabilité à la vapeur très importante, mais d’empêcher l’eau de migrer par les capillaires. Cette barrière s’obtient en modifiant les différentes tensions superficielles des matériaux. L’eau ne pourra plus remonter par les capillaires et sera bloquée à l’endroit où le traitement aura été effectué.
    Le CAPILASIL® répond parfaitement à cette fonction.
    En étant injecté dans les règles de l’art suivant les prescriptions de pose, il donnera pleine satisfaction. La formulation est à base de siloxanes oligomères (10% de matières actives). Cela signifie que ce sont de très petites molécules qui ne vont boucher que très peu de pores ce qui est une caractéristique très importante.
    Les silanes à base de monomères ont encore des molécules plus petites, mais ils sont très volatiles donc pour avoir une concentration sur et dans les murs de l’ordre 10% en matières actives il faudrait environ un produit à base de 30 à 40% de matières actives en silanes. Les polymères quant à eux ont une fâcheuse tendance à boucher les pores puisqu’ils ont des grosses molécules. Ils bouchent donc les pores et les capillaires entravant fortement la perméabilité à la vapeur.
    Important : Les sels et en particulier les nitrates peuvent former une chaîne permettant à l’humidité de continuer son ascension après un traitement classique.
    Pour parer à cet inconvénient majeur, nous proposons de faire un traitement au CAPILASIL HS (phase solvant) lorsque le taux de nitrates dépasse les 3,5 – 4%.
    Pour effectuer cette mesure nous vous prions de nous envoyer par poste ou de nous déposer au moins 10 gr de poussières de mur (endroits les plus humides et poreux) tous les 6 mètres d’un même mur au niveau de la future barrière d’injection. Demander nos conditions.
    Nous vous communiquerons les résultats après analyse.
    Il est à noter que dans certains cas, on pense que les murs sont atteints d’humidité ascensionnelle alors qu’il s’agit simplement d’une capillarité du joint ou d’un manque de matière entre la plinthe et le carrelage qui permet à l’eau de nettoyage (ou à un dégât accidentel d’un liquide versé par terre) de pénétrer par le joint plein ou évidé jusqu’au plafonnage provoquant une remontée ascensionnelle. Le phénomène est plus important si le dernier carrelage posé contre le mur est légèrement en pente vers le mur. Le plafonnage étant peu poreux et la plinthe étanche, le stockage d’eau se fait de plus important au fur et à mesure des nettoyages et peut provoquer des dégâts similaires à des murs atteints du même phénomène. Dans ce cas, un simple joint de silicone type MS polymère peut solutionner le problème.
    Après placement du joint, bien laisser sécher les matériaux humides avant de repeindre.
    Si vous souhaitez en savoir plus sur les produits pour injection contre l’humidité ascensionnelle, veuillez consulter le site web www.capilasil.com

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